14/02/2013

Japanantes, day one !


Jamais deux sans trois comme on dit (Utopiales et Art To Play pour les deux premiers évènements) et c’est ainsi que les meilleurs reporters de l’ouest sont repartis en quête de salsifis, cosplayeurs et autres joyeuseries durant le week-end du 19 et 20 janvier dans un petit festival comme on les aime !

Vous avez dit kawaii ?
JapaNantes en est à sa deuxième édition, et c’est avec bonne humeur et tapis rouge que nous avons été accueillis par les membres organisateurs, le lieu : Polytech Nantes, le thème : la culture japonaise dans toutes ses formes. Ce tout nouveau festival fait plaisir à voir, de la dégustation de thé au DDR (dance dance revolution) on y trouve de tout et on pouvait aussi nous retrouver, que ce soit couronnés de bonnets ridicules, de tabliers de soubrettes ou de robes provocatrices nous avons tout essayé, pour vous !











Et je commence le récit de nos aventures par le premier jour, le samedi, entrée en fanfare ! Après une dégustation de persil sur l’appui de fenêtre du voisin par Julius, nous rentrons dans le bâtiment, quelque peu gênés du comportement de cet ogre. Nous passons sous un  « Tori », un portail traditionnel japonais qui permet de se débarrasser de l’environnement profane et de pénétrer dans ce lieu de sérénité. Bon mis à part l’absence d’alcool (eh oui les Japonais ne boivent pas une goutte, c’est bien connu) ce lieu n’avait rien de serein, il était plutôt, disons très animé. Donc aucune bière, voilà que l’on commence notre journée au café, une fois n’est pas coutume !
Du merchandising à perte de vue dans l’entrée gigantesque de Polytech. Cela va de l’animé inconnu au bataillon aux hentais bien cachés sur certains stands sans oublier des peluches kawaii en veux-tu en voilà ! Une pièce jeux-vidéo avec toujours du bon rétro gaming, pas voir peu de nouveautés mais quelques concours, organisés dans la journée, pour les fans de jeux de bastons. Un amphi dédié à de petites conférences et jeux en tout genre, un autre pour la diffusion d’animés. Une gigantesque salle pour des concerts d’exceptions sur lesquelles on reviendra. Et le meilleur pour la fin, un pôle culturel sur le Japon à l’étage.

S’ensuit un repas très fort en pommes et en bouffe japonaise (un bon sandwich jambon beurre typique du pays), nous partîmes en quête du salsifis légendaire !
HSandCO va au fond des choses !
Après une bataille épique sur dance central (Xbox, kinect) où le stagiaire à massacré le boss, nous errons à la recherche de quelques bêtises possibles.

Notre après midi était très sympathique, nous zigzaguions entre groupies et fans, vous filmant d’un bout à l’autre du festival avec notre réplique culte du salsifis. Et vous étiez nombreux !
Nous nous dirigeons ensuite vers un recoin de l’entrée, surprise : un professionnel photographe de jolies demoiselles vêtus de courtes tenues. Ni une ni deux vos reporters se sont sacrifiés pour la bonne cause et sautent dans ces jolies robes aux fanfreluches affriolantes pour le plaisir des yeux (comme vous avez tous pu les admirer sur facebook) on est jolis n’est-ce pas ?


Nous avons par la suite assistés au concert de Starrysky, groupe provenant de Lyon, qui se qualifie de « metal-visual-pop ». Après un départ chaotique au niveau des réglages de son, la voix de la chanteuse, à peine audible, ne rajoute en rien à la beauté des chansons, quelques mélodies étaient tout de même bien travaillées. Mais voir un batteur jouer avec un bandeau sur les yeux et une chanteuse qui vous pousse à vous lever en vous insultant, ça n’a vraiment pas de prix !
Le café de la fin !

L’exposition à l’étage de la Japan Animation & Manga College m’a permis d’échapper à cette musique. De très bons designers, dessinateurs et coloristes, pour le plaisir des yeux.

Et malheureusement la journée s’achève déjà, sur une bière…. Ah non, un café pardon. Mais rassurez-vous nous nous sommes rattrapés en soirée !

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